COQUET, Jean Louis (1758-1836)

Jean Louis COQUET, un maçon de Richarville, petit village de la région de Dourdan en Essonne, est repéré comme chantre en 1791 dans les comptes de la fabrique paroissiale.

• 19 novembre 1758, Richarville, petit village situé au sud de Dourdan, dans le diocèse de Chartres [Essonne] : Jean Louis COQUET est baptisé le jour de sa naissance en l'église Saint-Lubin; il est le fils de Jean Coquet, mentionné ultérieurement comme manouvrier et cabaretier (1778) et de Marguerite Beaujon.

• 5 octobre 1778, Richarville : Il se marie avec Marie Élisabeth Desforges, fille d'un laboureur d'Arthenay, près d'Orléans, mais qui a servi trois ans comme domestique chez un laboureur de la ferme du Puits.Treize jours plus tard vient au monde leur premier enfant Claude Simon Luc.

• 13 octobre 1789, Richarville : Jean Louis COQUET exerce le métier de plâtrier au baptême d'un autre fils, Louis Marie. C'est un parent, l'abbé Coquet, vicaire de la paroisse Saint-Hilaire de Nogent-le-Rotrou qui baptise l'enfant.

• 8 septembre 1786, Richarville : Marguerite Beaujon, marchande de vin de cette paroisse veuve en premières noces de Alexandre Pinguenet, charretier et en secondes de Jean Coquet manouvrier, est inhumée en présence de Jean Coquet, marchand de vin à Paris, rue de Varenne, paroisse Saint-Sulpice, de Jean Louis COQUET, plâtrier de cette paroisse, ses deux fils, de Henry Coquet, manouvrier, beau-frère de la défunte et de Jacques Chalot, aussi manouvrier, son gendre.

• 27 juillet 1790, Richarville : Un autre fils, Jacques Auguste, est baptisé.

• 1791, Richarville : Il perçoit 24 livres d'appointements pour son service de chantre à l'église paroissiale. C'est la seule mention dans les sources de cette activité cantorale; il ne signe pas au bas des actes dans le registre paroissial. Il n'est actuellement pas possible de savoir si COQUET était déjà en poste en 1790.
• 9  mars 1791, Richarville : Il atteste la naissance de la fille de sa cousine Catherine Julie Henriette Coquet, une domestique, et d'un père inconnu.

• 1er octobre 1836, Richarville : Devenu veuf, il s'éteint à son domicile, mentionné comme propriétaire; c'est son fils , maçon, qui déclare son décès.

Mise à jour : 12 septembre 2018