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Pour citer Muséfrem
FOLLIART, Pierre (ca 1755-1837)
Autre(s) forme(s) du nom : FOLLIARD
Date(s) : 1755 ca / 1837-9-27
Pierre FOLLIART a accompagné de son instrument, le serpent, une quinzaine d'années durant, le chant "dans des maisons de Bénédictins" de la ville de Laon [Aisne] avant les suppressions monastiques de 1790. À sa mort sous la Monarchie de Juillet, il est employé des contributions directes.
• [vers 1755] : Pierre FOLLIART naît à Vasseny [Aisne] du mariage de Pierre Folliart, vigneron, et de Marie Houvrelle. Les registres paroissiaux n'existent plus.
• [1775]-1790, Laon [Aisne] : Il est employé comme musicien serpent par des religieux bénédictins que l'on suppose être établis dans la ville ou alors dans le ressort du futur district de Laon. Il est probable qu'il s'agisse des abbayes mauristes Saint-Jean ou Saint-Vincent, cette dernière se trouvant sous les murs de la cité.
• 14 février 1792, Laon : Pierre FOLLIART, de droit et de fait de la paroisse Notre-Dame, épouse Marie Louise Dumaire, fille majeure de Nicolas Dumaire et de Marguerite Ancelin, de droit et de fait de la même paroisse.
• 10 novembre 1792, Laon : Pierre FOLLIART, musicien de la paroisse Saint-Martin, annonce la naissance, la veille, en sa maison sise rue Saint-Martin, de son fils Pierre Louis Antoine.
• 8 juin 1793, Laon : Le citoyen FOLLIART, demeurant en cette ville, pétitionne pour obtenir une pension ou un traitement aux termes de la loi du premier juillet 1792, "comme ayant été employé pendant 15 ans dans des maisons de Bénédictins en qualité de musicien et serpent, dont il fait encore les fonctions en l'église St-Martin réunie à St Jean au Bourg".
• 18 juin 1793, Laon : Le conseil général de la commune estime que le pétitionnaire, âgé de 40 ans, ne peut prétendre à aucune pension, mais à un secours une fois payé d'une année et demie de ses gages, soit 180 livres.
• 20 juin 1793, Laon : Le District estime qu'étant employé dans une église de son propre aveu, il ne peut prétendre bénéficier de la loi du premier juillet 1792. Le même jour, le conseil permanent du Département de l'Aisne approuve cet avis et arrête qu'il n’y a pas lieu de délibérer sur la réclamation de FOLLIART.
• 30 janvier 1794, Laon : FOLLIART, commis aux entrées de l'ambulance, déclare la naissance, le jour même, de son fils Charles Victor. La mère est son épouse Marie Louise Dumaire.
• 27 septembre 1837, Laon : Pierre FOLLIART, commis à la direction des contributions directes, natif de Vasseny, canton de Braine, meurt en sa demeure à l'âge de 82 ans. Il était l'époux de Marie Louise Dumaire.
Mise à jour : 29 mars 2023