Allier
Alpes-de-Haute-Provence
Ardennes
Ariège
Aude
Aveyron
Bas-Rhin
Cantal
Charente
Charente-Maritime
Cher
Corrèze
Côte-d'Or
Côtes d’Armor
Creuse
Dordogne
Doubs
Essonne
Eure
Eure-et-Loir
Finistère
Gard
Gironde
Haute-Garonne
Haute-Loire
Haute-Saône
Hautes-Pyrénées
Haute-Vienne
Hauts-de-Seine
Hérault
Ille-et-Vilaine
Indre
Indre-et-Loire
Isère
Landes
Loire-Atlantique
Loir-et-Cher
Loiret
Lot
Lot-et-Garonne
Maine-et-Loire
Manche
Marne
Mayenne
Morbihan
Moselle
Nièvre
Nord
Oise
Orne
Paris - Notre-Dame
Pas-de-Calais
Puy-de-Dôme
Pyrénées-Atlantiques
Rhône
Saône-et-Loire
Sarthe
Tarn
Tarn-et-Garonne
Val d'Oise
Vaucluse
Vendée
Vienne
Yonne
Yvelines
Actualité de la base Muséfrem
Vous avez dit prosopographie ?
Histoire de l'enquête Muséfrem
Les fondements de l'enquête Muséfrem
Les contributeurs depuis 2003
Les partenaires scientifiques
Contact
Pour citer Muséfrem
FROMENT, Jean (1773-1837)
Date(s) : 1773-8-20 / 1837-6-27
La famille FROMENT fournit plusieurs serviteurs du culte à l'église paroissiale de Saint-Amand-Montrond. Jean y est chantre, et son père sacristain. Un homonyme, qui ne signe pas, possiblement un frère de Jean FROMENT, est également présent aux sépultures en 1789-1791.
• 20 août 1773, Saint-Amand-Montrond [Cher] : Jean FROMENT, né du jour, fils de Pierre Froment, sacristain, et de Marie-Anne Avenier, est baptisé en l'église du Vieil Chastel. Son parrain est marchand cirier, son père, présent, signe.
• 1791, Saint-Amand-Montrond : Jean FROMENT est chantre de l'église du Vieux Château. En raison de son jeune âge – 18 ans –, il n'est pas certain qu'il ait été en fonction en 1790. Un an plus tard, il est dit "sacristain".
• 25 février 1802, Charenton-du-Cher [Cher] : Jean-Baptiste FROMENT, désormais "tanneur", épouse Madeleine Bourgeois, en ce village situé à 11 km de Saint-Amand-Montrond. En dépit d'une erreur sur sa date de naissance dans l'acte, les patronymes des parents confirment qu'il s'agit bien de la même personne.
Plusieurs naissances s'ensuivent dans la même commune, où il est encore dit "tanneur", puis "propriétaire". En 1810, lors du décès, à l'âge de six ans, de sa fille Claire-Marianne-Zélie, le sieur Jean-Baptiste FROMENT est dit "aubergiste".
• 28 juin 1837, Bourges [Cher] : Jean FROMENT, "pensionnaire", époux de Magdeleine Bourgeois, décède à l'âge de 62 ans dans le quartier Saint-Sulpice. Là encore la mention de ses parents – les défunts Pierre Froment et Marie Avenier – confirme qu'il s'agit du même individu.
Mise à jour : 29 août 2020