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GIFFEY, Marie Françoise Charlotte, en religion Sœur Saint-Joseph (1765-1826)

GIFFEY, Marie Françoise Charlotte, en religion Sœur Saint-Joseph (1765-1826)

État civil
NOM : GIFFEY     Prénom(s) : Marie Françoise Charlotte     Sexe : M
Complément de nom : en religion Sœur Saint-Joseph
Autre(s) forme(s) du nom : GIFFÉ
GIFFEZ
Date(s) : 1765-12-28  / 1826-7-7
Notes biographiques

Marie Françoise Charlotte GIFFEY (1765-1826), en religion Madame de Saint-Joseph, est religieuse bénédictine et chantre du prieuré Notre-Dame de Braine [Aisne] en 1790.

• 28 décembre 1765, Sézanne [Marne] : Marie Françoise Charlotte GIFFEY, née le jour même, fille de Charles François Bruno Giffey, marchand tanneur, et de Marie Nicole Nay, son épouse, est baptisée paroisse Saint-Denis. 

• 10 février 1789, Braine [Aisne] : Marie Françoise Charlotte GIFFEY fait profession à l'abbaye bénédictine Notre-Dame.

• 12 juillet 1790Braine : L'inventaire du mobilier de l'abbaye Notre-Dame fait mention de Marie Françoise Charlotte GIFFEY dite Saint-Joseph, 25 ans environ, professe de la maison depuis 16 mois, chantre. Une autre religieuse exerce la fonction de chantre, Marie Victoire DEMENDE.

• 2 août 1791 : La sœur Saint-Joseph a quitté le prieuré picard pour se retirer, en qualité de pensionnaire, dans une maison de la ville de Sézanne, "sa patrie".

• 1792, Sézanne : En octobre, elle réside à l'abbaye Notre-Dame et en décembre chez M. Méline, vérificateur des patentes. Elle écrit, le 7 décembre, au président du tribunal du district de Soissons, se plaignant de n'avoir touché que 300 livres de pension, alors que les ci-devant religieuses ont toujours joui de 400 livres.

• 7 juillet 1826, Reims [Marne] : Marie Françoise Charlotte GIFFEY, ancienne religieuse et pensionnaire de l'État, demeurant rue du Jardin des Plantes, meurt en sa demeure à l'âge de 61 ans. Le décès est déclaré le 8 par son neveu Charles Antoine Morel, 29 ans, horloger, demeurant à Paris.

Mise à jour : 2 janvier 2023

Sources
F-Ad51/ 2 E 534/500 ; F-Ad51/ 2 E 629/23 ; F-Sté Historique Soissons/ Dossier 212 ; M. Collet, "Les dernières bénédictines de Braine", 1875

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