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Pour citer Muséfrem
GUIBRET, Jean (1785-1846)
Date(s) : 1785-3-31 / 1846-1-30
Jean GUIBRET, né à Toulouse enseigne la musique de 1822 à 1835 à l’école de Sorèze.
• 31 mars 1785, Toulouse : Jean GUIBRET, fils de Pierre Guibret, propriétaire et de Magdelaine Lambry naît. (d’après son acte de mariage)
• vers avril 1800, Toulouse : Jeanne Léocadie, fille de Jean GUIBRET et Antoinette Saint-Laurent, mariés, naît.
• 6 avril 1813, Toulouse : Jeanne Marquette Léocadie, fille de Jean GUIBRET et Antoinette Saint-Laurent, non mariés naît dans la maison Vidal n° 1017, près la porte Montoulieu. Elle est alors déclarée par une tierce personne « née de mère et mère inconnus ».
• 21 août 1815, Toulouse : Hernest Jean Léopold, fils de Jean GUIBRET et Antoinette Saint-Laurent, non mariés naît dans la maison du Sieur Desplax au n°37 de la rue Pargaminières. Il est présenté par dame Jeanne Pétronille Desplax, sage femme qui déclaré à l’état civil, par erreur (!) qu’il s’agit du fils naturel de Marguerite Bardis et de père inconnu.
• 17 novembre 1818, Toulouse : Théophile Jean Antoine Marie, fils de Jean GUIBRET et Antoinette Saint-Laurent, non mariés naît dans la maison du Sieur Saint-Laurent au n° 39 rue Pharaon. Il est présenté au Capitole par Denis Galopin chirurgien, et déclaré de père et mère inconnus.
• 20 août 1820, Toulouse : Jeanne Louise Sara, fille de Jean GUIBRET et Antoinette Saint-Laurent, non mariés naît dans la maison du Sieur Martin à Merigans n° 14. Elle est présenté au Capitole par Denis Galopin chirurgien, et déclarée de père et mère inconnus.
• 18 juillet 1822, Toulouse : Jean GUIBRET qui habite au n° 18 de la rue des Arts épouse Antoinette Saint-Laurent (Saint-Girons, 1788-?) habitant au n°48 de la rue des Polinaires. Le mariage est célébré en présence de la mère du futur époux, son père étant décédé, de même que les parents de la future épouse. Une fois l’union prononcée, le couple légalise les 4 des enfants qu’ils ont eu hors mariage, ayant déclaré « que de leur union intime a été procrée 4 enfants ». Le couple souhaite préserver les droits de leurs premiers enfants.
• 1er novembre 1828, Sorèze [Tarn] : Jean GUIBRET est reçu comme professeur de musique à l’école. Il perçoit un honoraire de 1 400 livres pour répétitions, concerts, soit 6 heures de travail avec 25 jours de vacances par an.
• 1er janvier 1835, Castres : La famille GUIBRET, Jean et son épouse Antoinette Saint-Laurent habitent faux bourg de Castres lorsque décède à leur domicile leur première fille Jeanne Léocadie, à l’âge de 21 ans.
• 30 janvier 1846, Toulouse : Jean GUIBRET, qualifié sur l’acte de négociant, décède dans sa maison d’habitation au n°28 de la rue Paradoux ; il est âgé de 61 ans.
Mise à jour : 3 janvier 2021