Allier
Alpes-de-Haute-Provence
Ardennes
Ariège
Aude
Aveyron
Bas-Rhin
Cantal
Charente
Charente-Maritime
Cher
Corrèze
Côte-d'Or
Côtes d’Armor
Creuse
Dordogne
Doubs
Essonne
Eure
Eure-et-Loir
Finistère
Gard
Gironde
Haute-Garonne
Haute-Loire
Haute-Saône
Hautes-Pyrénées
Haute-Vienne
Hauts-de-Seine
Hérault
Ille-et-Vilaine
Indre
Indre-et-Loire
Isère
Landes
Loire-Atlantique
Loir-et-Cher
Loiret
Lot
Lot-et-Garonne
Maine-et-Loire
Manche
Marne
Mayenne
Morbihan
Moselle
Nièvre
Nord
Oise
Orne
Paris - Notre-Dame
Pas-de-Calais
Puy-de-Dôme
Pyrénées-Atlantiques
Rhône
Saône-et-Loire
Sarthe
Tarn
Tarn-et-Garonne
Val d'Oise
Vaucluse
Vendée
Vienne
Yonne
Yvelines
Actualité de la base Muséfrem
Vous avez dit prosopographie ?
Histoire de l'enquête Muséfrem
Les fondements de l'enquête Muséfrem
Les contributeurs depuis 2003
Les partenaires scientifiques
Contact
Pour citer Muséfrem
MATHÉE, Claude (1753-1823)
Autre(s) forme(s) du nom : MATHÉ
Date(s) : 1753-4-19 / 1823-4-23
• 19 avril 1753, Volgré [Yonne] : Claude MATHÉE naît et est baptisé dans cette petite paroisse du diocèse de Sens. Son père est qualifié de vigneron.
• 1er février 1780, Sépeaux [Yonne] : Dans ce village situé à 8 km au nord-est de Volgré, Claude MATHÉE épouse Marie-Louise Catelin, fille d'un manouvrier. Son père à lui est qualifié de laboureur. Le jeune marié signe "C.mathée", graphie adoptée comme autorité pour son patronyme, qui est souvent orthographié aussi "Mathé".
• 8 février 1781, Volgré : Lors du baptême de son premier enfant, Claude MATHÉE est dit "laboureur et chantre de cette paroisse".
Durant les années suivantes, il est plus souvent qualifié seulement de laboureur par le curé dans les actes paroissiaux. Celui qui assiste très régulièrement le curé pour les inhumations, c’est Pierre MARTIN, le sonneur. Claude Mathée chante-t-il toujours au lutrin paroissial ?
• 23 avril 1823, Volgré : Claude MATHÉE, "veuf de Marie Cathelin", est qualifié de propriétaire lors de son décès, déclaré par deux laboureurs, dont l'un est son gendre.
