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Pour citer Muséfrem
ORIERRE, Guy (1735 av.-1766 av.)
Autre(s) forme(s) du nom : ORIÈRE
ORRIÈRE
ORRIERRE
AURIÈRE
Date(s) : 1735 av. / 1766 av.
Guy ORIERRE est régulièrement aperçu comme maître de danse dans les rôles fiscaux à Vitré, en Bretagne, au milieu du XVIIIe siècle. Lors de son mariage, en 1735, il signe "guÿ orierre", graphie qui a été adoptée en autorité pour la présente biographie, même si son patronyme est le plus souvent écrit Orrière ou Orière par les autres scripteurs.
• 8 janvier 1735, Vitré [Ille-et-Vilaine] : Le curé de la paroisse Notre-Dame confère la bénédiction nuptiale à Guy ORIÈRE et Perrine Brault, "les deux de cette paroisse". L'acte, minimal, n'apporte aucune autre précision. Les présents mentionnés ou signataires sont Julien Brault, le père de l'épouse, Pierre Bertiau, Joseph Nallet [ou Vallet ?] et Jean Lonnier [lecture du nom sous toutes réserves].
De ce mariage sont issus des enfants qui restent à retrouver. Parmi eux, on peut signaler une fille, prénommée Ollive, née le 17 janvier 1746, qui meurt dès le lendemain, paroisse Notre-Dame.
• 1736-1738, Vitré : Guy ORRIÈRE maître de danse habite au faubourg de La Hellerie, au-delà du bourg St-Martin. Il paye une capitation de 2 livres par an.
• 1739, Vitré : Le sieur ORRIÈRE maître de danse a déménagé et habite rue d’Ernée et de la Tour Sévigné à côté de la Poterie. Cette année-là, il paye 3 livres de capitation.
• 1742, 1750, Vitré : Guy ORRIÈRE maître de danse demeure toujours rue d'Ernée. Sa capitation fluctue entre 3 et 5 livres / an. En 1752 et 1753, elle descend à 25 sols, et demeure à ce niveau jusqu'en 1757.
• 1758, Vitré : Il ne semble plus figurer dans le rôle de capitation vitréen. Pour autant, son décès reste à retrouver...
• 1766, Vitré : La Veuve ORRIÈRE, maître de danse, est capitée 25 sols rue de la Poterie. Elle l’avait été au même niveau l’année précédente. En 1767, toujours à la même adresse, elle est capitée à 30 sols.
Mise à jour : 13 décembre 2019