RONDOT, Michel Jean (1783 av.-1811 ap.)

En 1786-1787, Michel Jean RONDOT est repéré comme chantre dans le registre de la paroisse Saint-Jacques-et-Saint-Christophe de Montgeron, à une vingtaine de kilomètres au sud de Paris. Il est par ailleurs élagueur au château de Montgeron qui appartient alors au comte de Provence.

• 20 mars 1783, Montgeron [Essonne] : Michel Jean RONDOT, élagueur, est marié à Marie Catherine Rousseau. Leur fille Marie Catherine est baptisée. Ce n'est pas leur premier enfant puisque Michel, frère de l'enfant, signe comme parrain.

• 8 décembre 1786, Montgeron : Michel RONDEAU, chantre de cette paroisse, signe en compagnie de  Nicolas Vigoureux, bedeau, au bas d'un acte de sépulture, il signe "m.Rondot". Il est mentionné ainsi dans des actes des 27 et 28 décembre suivant et signe.

• 6 janvier 1787, Montgeron : Michel Rondeau, chantre, signe avec le bedeau à l'inhumation du fils d'un boucher.
• 16 mars 1787, Montgeron : Il signe toujours "m.Rondot" à l'inhumation de leur fille Marie en présence du maître d 'école Jean-Baptiste Richer et du bedeau Nicolas Vigoureux. Cette signature identique confirme qu"il s'agit bien du chantre même si à d'autres dates, la signature est "Rondeau".

• 1787-1790, Montgeron : Il est marié à Marie Catherine Rousseau. Plusieurs enfants sont baptisés paroisse Saint-Jacques-et-Saint-Christophe : Rodolphe (28 septembre 1788), Louis (3 décembre 1790)

• 8 février 1789, Montgeron : "Élagueur du château de ce lieu", il signe comme parrain au baptême de la fille d'un vigneron.

• 11 juin 1811, Montgeron : Il est toujours en exercice comme élagueur à cette date lors du mariage de leur fils Louis, maçon.

Nous perdons ensuite sa trace. Il n'est pas mort dans cette commune, les investigations dans les tables décennales n'ont rien donné.

Mise à jour : 27 janvier 2019