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VINCENT, Jérôme Joseph (1741-1821)
Date(s) : 1741-2-17 / 1821-1-11
Issu du milieu des marchands de soie de Nîmes, Jérôme Joseph VINCENT embrasse la carrière ecclésiastique, comme son frère à qui il succède comme bénéficier du chapitre de Saint-Gilles [Gard], alors qu'il est déjà âgé de 40 ans. Sa trace se perd pendant la Révolution et l'Empire, jusqu'à son décès dans sa ville natale, en 1821.
• 17 février 1741, Nîmes [Gard] : Jérôme Joseph VINCENT, fils de Jérôme Benoît Vincent, marchand de soie, voit le jour. Il est baptisé en l'église paroissiale Saint-Castor (desservie dans la cathédrale) le 24, avec pour parrain un marchand de soie, probablement son oncle.
• 3 décembre 1781, Saint-Gilles [Gard] : Jérôme Joseph VINCENT devient bénéficier du chapitre, du fait de la résignation de son frère Jean Pierre VINCENT. Il subit "un examen sur le chant" avant d'être installé.
• 1790, Saint-Gilles : Jérôme Joseph VINCENT est bénéficier du chapitre, avec 500 livres de revenu annuel, appelé pension.
• 1793-1795, Nîmes : D'après l'abbé Goiffon, Jérôme Joseph VINCENT se cache dans l’Hôpital-Général pendant la Terreur. Une liste d'émigrés le dit toutefois "reclus", après avoir été déclaré émigré le 22 octobre 1793 (1er brumaire an 2). Il est en effet écroué à la citadelle le 2 décembre 1793, jusqu'à sa libération le 25 avril 1795
• 11 janvier 1821, Nîmes : Jérôme Joseph VINCENT, prêtre, pensionnaire ecclésiastique, rend l'âme à l'âge de 79 ans.
Mise à jour : 28 mai 2023