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Pour citer Muséfrem
PRADIER, François (1783-1792 fl.)
Autre(s) forme(s) du nom : PRADIÉ
Date(s) : 1783 / 1792
• 1783, Montpellier : François PRADIER est reçu enfant de chœur au chapitre cathédral Saint-Pierre de Montpellier.
• 1790 : Il est toujours enfant de chœur employé à la musique au service de la cathédrale Saint-Pierre. Il signe une pétition collective de tous les enfants de chœur de la cathédrale dans laquelle ils se disent tous orphelins et exposent que l'ancien chapitre était dans l'usage de donner aux enfants de chœur qui le quittaient après 4 à 6 ans de service une gratification de 60 livres pour l'apprentissage d'un métier.
• 26 janvier 1791 : Le directoire du département, vu ce mémoire collectif, décide de faire payer à chacun des enfants de chœur de la cathédrale, dont François PRADIER, une gratification de 240 livres pour qu'ils puissent apprendre de nouveaux métiers.
• Après le 14 juillet 1791 : PRADIER quitte le service de la cathédrale le lendemain de la Fête de la Fédération sur ordre communiqué par l'administration révolutionnaire à Jean Pierre RAVEL, sous-maître des enfants de chœur, et ne travaille ensuite dans aucune autre paroisse.
• 12 avril 1792 : Il signe avec Jean FORTIER, également enfant de chœur de l'ancien chapitre Saint-Pierre, une demande à l'administration dans laquelle ils demandent chacun la même gratification de 200 livres qui a déjà été accordée à un de ses confrères. Suite aux attestations de Jean Pierre RAVEL et de Boirac CUPIDON, le directoire du district de Montpellier estime qu'il y a lieu de leur accorder la gratification "comme un dédommagement des avantages qu'ils avoient droit d'espérer de la part du ci-devant chapitre".