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BOURGEOIS, à Besançon (1790 av.-1792 ap.)
Complément de nom : à Besançon
Date(s) : 1790 av. / 1792 ap.
BOURGEOIS, dont le prénom reste à découvrir, est en 1790 chantre de l'abbaye bénédictine Saint-Vincent à Besançon. Probablement étaient-ils deux à remplir cette fonction. Le nom de l'autre chantre n'a pas surgi des sources consultées. BOURGEOIS poursuit ensuite ses fonctions au service de la paroisse Saint-Marcellin.
• 1790, Besançon : Le sieur BOURGEOIS est chantre à l'abbaye bénédictine Saint-Vincent. Il y côtoie l'enfant de chœur HÉRON, l'organiste Claude-Louis GUIGNET et un clerc nommé Marmet.
• 1er mai-31 décembre 1791, Besançon [Doubs] : Le chapitre 2 des dépenses du compte de la paroisse Saint-Marcellin indique qu'il est dû 228 livres au citoyen GUIGNET, organiste, 334 livres 6 sols 8 deniers à Marmet, clerc, 200 livres à BOURGEOIS, chantre, et 66 livres 14 sols à HÉRON, enfant de chœur, pour huit mois de service (total 829 livres 8 deniers). Le chapitre 3 mentionne une dépense de 2 livres 8 sols pour des petits livrets de chant.
Les Bénédictins, de même que les Minimes, ont quitté leur monastère le 1er mai 1791. Le 4 mai 1791, un décret de l'Assemblée constituante réforme l'organisation paroissiale de Besançon. La paroisse Saint-Marcellin, érigée à l'intérieur de l'église abbatiale de Saint-Vincent, est maintenue. Les anciens employés poursuivent leur service dans le cadre paroissial.
• Année 1792, Besançon : Le compte paroissial de Saint-Marcellin indique au chapitre 2 qu'il est dû "200 livres au chantre".
Il n'est pas impossible que le chantre BOURGEOIS soit François-Joseph BOURGEOIS, devenu organiste à la cathédrale Saint-Jean en juillet 1792 après le décès des frères JECKER, mais cette hypothèse est fragilisée par le fait qu'il est organiste et pas chantre. Néanmoins, étant ancien enfant de chœur, il peut avoir possédé les deux compétences... et avoir chanté à l'abbaye pour étoffer ses revenus d'organiste des Dominicains.
Mise à jour : 16 septembre 2021