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DOUCHET, Jean Louis (1755-1826)
Date(s) : 1755-5-20 / 1826-5-22
Documenté comme clerc séculier et premier chantre de la paroisse Saint-Jean-Baptiste de la ville picarde de Saint-Quentin entre 1780 et 1788, Jean Louis DOUCHET est probablement encore en fonction en 1790.
• 20 mai 1756, Gauchy [Aisne] : Jean Louis DOUCHET, fils de Jean Louis DOUCHET, clerc séculier de la paroisse [1780], et de Marie Barbe Wagnet, vient au monde dans ce village situé à 3-4 kilomètres au sud de Saint-Quentin. Il est baptisé le lendemain.
• 18 janvier 1780, Saint-Quentin [Aisne] : Jean Louis DOUCHET, clerc séculier de la paroisse Saint-Jean-Baptiste où il est domicilié, 23 ans, épouse Louise Duvivier, 21 ans, fille mineure de Jean-Baptiste, aubergiste, et de Marie Anne Monnoury, de cette paroisse, en présence du père de l'époux, de François Bourré, garçon, René Michel Cheron, fermier, maître boucher de la paroisse Sainte-Marguerite, du père de l'épouse, de son frère Jean-Baptiste, maître perruquier de la paroisse Saint-Martin, qui signent avec les époux (le mari signe "Jean louis Douchet").
• 25 juillet 1782, Saint-Quentin : Aimable Louise Victoire, fille de Jean DOUCHET, clerc séculier de la paroisse Saint-Jean-Baptiste, et de Louise Suzanne Duvivier, est baptisée en cette paroisse. Une semaine auparavant, DOUCHET était présent à l'inhumation de son beau-père, Jean Baptiste Duvivier, aubergiste.
• Juillet 1785-juillet 1786, Saint-Quentin : Dans le compte de fabrique de Saint-Jean-Baptiste, on relève que deux chantres, "tous les deux clercs séculiers de ladite paroisse", sont payés 72 livres soit 36 livres chacun pour une année de gages. DOUCHET est l'un d'eux. Il reçoit en outre la somme de 12 livres pour une année d’instruction qu’il a donnée aux enfants de chœur (dans la marge, on lit "chant des enfans de cœur").
• Juillet 1786-juillet 1787, Saint-Quentin : "72 livres à Douchy [sic] et Camet, tous deux chantres", lit-on dans un nouveau compte paroissial. Il perçoit toujours les 12 livres pour instruction du chant aux enfants de chœur, plus trois livres "pour avoir racomodé le livre du lutrain".
• 4 février 1787, Saint-Quentin : On procède à l'inhumation de Quentin, âgé de 18 mois, fils de Jean-Baptiste [sic] DOUCHET, clerc séculier de la paroisse Saint-Jean-Baptiste, et de Louise Duvivier son épouse, en présence du père qui signe "Douchet".
• Juillet 1787-juillet 1788, Saint-Quentin : Les fabriciers versent à DOUCHET, premier chantre, la somme de 93 livres 11 sols, soit 46 livres 15 sols et 6 deniers chacun pour six mois d'acquit des obits et fondations. Il est toujours rémunéré 12 livres pour ses leçons aux enfants de chœur. Le second chantre est Louis Joseph CAMET.
• 1790-1791, Saint-Quentin : Le compte de fabrique ne mentionne aucune fonction, mais le nom de DOUCHET apparaît.
• 23 mai 1826, Saint-Quentin : Désiré Bourguignon, 46 ans, vannier, son gendre, et Jean Louis Durlain, tailleur d'habits, son ami, déclarent le décès de la veille à deux heures de l'après-midi à son domicile de la rue du Petit-Origny, de Jean Louis DOUCHET, propriétaire, 69 ans, fils de défunts Jean Louis Douchet, et de Marie Barbe Wagnet, époux de Louise Duvivier.
Mise à jour : 16 juillet 2023