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Pour citer Muséfrem
COILLAN, Louis (1790 av.-1791 ap.)
Autre(s) forme(s) du nom : COILLAU
COELLAN
Date(s) : 1790 av. / 1791 ap.
Non attesté dans les effectifs 1790, contrairement à son frère aîné, Louis COILLAN semble devenir enfant de chœur de la paroisse Saint-Sauveur de Rennes seulement à Noël 1790. Et à la mi-mai 1791, la paroisse disparaissant, sa très brève carrière d'enfant de chœur se termine abruptement.
• 25 décembre 1790, Rennes : À l'occasion [ou au lendemain ?] des fêtes de Noël, Louis COILLAN commence son service de "choriste" à la paroisse Saint-Sauveur, où sert déjà son frère aîné, Joseph. Les gages payés six mois plus tard courent "depuis noël dernier".
• 6 juillet 1791 : Joseph COILLAN "faisant tant pour moy que pour Louis COILLAN mon frère & pour Jean TROCHON tous trois cy devant choristes de la paroisse de St Sauveur" établit et signe un reçu comptable pour la somme de 23 livres 9 sols. Il s'agit du "prorata de nos Gages échu depuis noël dernier jusqu’au 15 May aussi dernier, jour auquel nous avons quitté le Service de la paroisse". Joseph COILLAN et Jean TROCHON étaient déjà attestés l'année précédente avec ce statut de choriste – qui signifie vraisemblablement ici enfant de chœur. Ce n'est pas le cas pour Louis COILLAN, qui n'était pas mentionné en 1790, et qui est nécessairement plus jeune que son frère aîné, lequel est chargé de la responsabilité des paiements reçus.
Les trois garçons quittent leur service (ou on les licencie ?) lorsque Saint-Sauveur est réuni avec Saint-Aubin et Saint-Pierre en une seule grande paroisse Saint-Pierre et qu'il faut faire de la place pour les chantres issus de ces deux autres paroisses.
L'un de leurs remplaçants est Thomas JUBIN.
Mise à jour : 25 mars 2020