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DIDELOT, Pierre (1753-1793 ap.)
Date(s) : 1753-3-29 / 1793-8-5 ap.
Pierre DIDELOT exerce les fonctions de chantre à la collégiale Saint-Pierre-le-Jeune de Strasbourg [Bas-Rhin] de 1788 à 1790 puis à la paroisse du même nom en 1791-1792. En l'an II, il est infirmier à l'hôpital militaire de la ville. Ayant travaillé trop peu de temps pour un chapitre, il n'effectue aucune démarche pour toucher une pension ou une gratification.
• 29 mars 1753, Anthelupt [Meurthe-et-Moselle] : Pierre DIDELOT naît du mariage de Joseph Didelot, vigneron, et d'Élisabeth Germain.
• 30 avril 1788, Strasbourg [Bas-Rhin] : Pierre DIDELOT signe un acte de sépulture en qualité de chantre de la collégiale Saint-Pierre-le-Jeune. Il paraît avoir remplacé le chantre INGWEILLER, mort au début de l'année.
• 1789, Strasbourg : Pierre DIDELOT, chantre de Saint-Pierre-le-Jeune, est locataire au n° 16, rue du Château dite Bürggasse.
• 25 juin 1789, Strasbourg : Pierre DIDELOT, veuf d'Anne Catherine Lascar [?], chantre de l'église collégiale Saint-Pierre-le-Jeune, épouse à Saint-Pierre-le-Jeune Marguerite Wagner, fille majeure d'Étienne Wagner et de Magali Gottfroy sa défunte femme, de Romelfing [Moselle], domiciliée paroisse Saint-Laurent. Les chantres Jean-Baptiste CAUDRILLIER, Michel ENGEL, Joseph NACHBAUER et le bedeau François Hechmann assistent à la cérémonie. L'épouse n'a pu signer l'acte.
• 1790, Strasbourg : Pierre DIDELOT, toujours chantre en la collégiale Saint-Pierre-le-Jeune, perçoit 650 livres par an, dont 500 de gages fixes.
• 30 novembre 1790, Strasbourg : Sa femme Marguerite Wagner décède.
• [vers janvier 1791], Strasbourg : Les chantres Jean-Baptiste CAUDRILLIER, Pierre DIDELOT, Jean Michel ENGEL et Joseph NACHBAUER et l'organiste Joseph NEUMAYER, employés du ci-devant chapitre de Saint-Pierre-le-Jeune, demandent à poursuivre leur service avec le même traitement qu'avant. Les chantres touchaientt 41 livres 13 sols 4 deniers par mois chacun, l'organiste 25 livres.
• 12 février 1791, Strasbourg : Considérant que les exposants devraient être réemployés dans l'église paroissiale Saint-Pierre-le-Jeune, le directoire du Département du Bas-Rhin autorise le receveur du District à leur payer leurs gages de janvier.
• Juin 1791, Strasbourg : DIDELOT figure sur l'état des chantres et musiciens établi par Ignace PLEYEL en tant de chantre de la paroisse Saint-Pierre-le-Jeune.
• Février-mai 1792, Strasbourg : Comme chantre de la paroisse Saint-Pierre-le-Jeune, il touche 540 livres de gages par an.
• 5 août 1793, Strasbourg : Pierre DIDELOT, infirmier à l'hôpital militaire, 40 ans, veuf de Marguerite Wagner, épouse Marie Catherine Wilhelm, couturière, 36 ans, domiciliée à Strasbourg depuis 14 ans, native de Sélestat [Bas-Rhin], fille de Nicolas Wilhelm, marchand de tabac à Saverne [Bas-Rhin], et de feue Jeanne Béatrice Collé.
La trace de Pierre DIDELOT se perd ensuite.
Mise à jour : 14 août 2020