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PERMAGEOT, Louis François Auguste (1790 av.-1793 ap.)

PERMAGEOT, Louis François Auguste (1790 av.-1793 ap.)

État civil
NOM : PERMAGEOT     Prénom(s) : Louis François Auguste     Sexe : M
Autre(s) forme(s) du nom : PÉRINAGEOT
Date(s) : 1790 av.  / 1793-2-4 ap.
Notes biographiques

En 1790, Louis François Auguste PERMAGEOT est l'un des enfants de chœur de la cathédrale de Soissons [Aisne]. On ignore tout à son sujet.

1790, Soissons [Aisne] : Louis François Auguste PERMAGEOT sert à la maîtrise de la cathédrale Saint-Gervais-et-Saint-Protais en qualité d'enfant de chœur, mais on ignore depuis quand.

• 1791-janvier 1793, Soissons : Il continue à servir la nouvelle structure cathédrale et paroissiale Saint-Gervais comme enfant de chœur.

• 4 février 1793, SoissonsJacques Antoine LE ROIGabriel Ambroise Théodore ROBERT, Nicolas Philippe DEMONCHY, Louis François Auguste PERMAGEOT, Antoine Joseph ROMAGNESIJean Stanislas LEVERDLouis NIVELLE et Joseph CHARPENTIER, tous les huit attachés au ci-devant chapitre de l'église cathédrale et depuis paroissiale de Soissons en qualité d'enfants de chœur, ont pétitionné fin 1792 pour jouir de la gratification que la loi leur accorde à titre d'indemnité à cause de la perte de leur état. D'autres pièces sont examinées par l'administration départementale, dont l'arrêté du conseil permanent de la commune du 8 décembre 1792, portant suppression à compter du premier janvier 1793 de tous les fonctionnaires attachés au service du culte salariés par la fabrique de l'église cathédrale. Le conseil permanent du Département de l'Aisne arrête que conformément à l'article 9 de la loi du premier juillet 1792, il sera délivré un mandat de 300 livres à chacun des six premiers pétitionnaires à titre de gratification sur le receveur du District de Soissons. Quant à leurs lits et linge, il n'y a lieu de délibérer. Les réclamations des deux derniers sont rejetées car leur admission est postérieure à la suppression du chapitre. Cette délibération prouve que PERMAGEOT a bien été reçu avant la suppression du chapitre en 1790. Il a été formé en ce cas par Charles DENNERY (parti pour la capitale en 1789) mais on ignore le nom du maître de musique de 1790, le poste n'était d'ailleurs peut-être pas pourvu.

Nous perdons ensuite sa trace. 

Mise à jour : 15 juillet 2023

Sources
F-Ad02/ Q 789 ; F-An/ F19/1128

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